10 février 2019
Poème collaboré : Au plus près des gens de la rue
Au plus près des gens de la Rue
écrit par Florian Pierrel
Au plus près des gens de la Rue
Le froid hivernal les tue
L'alcool, le chien et ils fument
Ils demandent de l'argent, ces pauvres sans plus aucune armures
Dans la ville, ils se lavent plus
Ils sont sales, oui j'ai des paroles crues
Mais c'est la réalité ; ça frustre
J'aimerais les sortir de cette misère mais certaines en profitent de la richesse des autres ainsi fut
Leurs chiens les guident pour nous attirer, moi ça me tue
Le froid hivernal les tue
L'alcool, le chien et ils fument
Ils demandent de l'argent, ces pauvres sans plus aucune armures
Dans la ville, ils se lavent plus
Ils sont sales, oui j'ai des paroles crues
Mais c'est la réalité ; ça frustre
J'aimerais les sortir de cette misère mais certaines en profitent de la richesse des autres ainsi fut
Leurs chiens les guident pour nous attirer, moi ça me tue
Suite écrite par Maxauria
Ça me tue de les voir ainsi
Souvent assis et presque sans vie
Certains pourtant souris
Malgrès leur traits amaigris
Montrant la difficulté qu'est leur vie
Souvent assis et presque sans vie
Certains pourtant souris
Malgrès leur traits amaigris
Montrant la difficulté qu'est leur vie
Chaque jour dans les métros
Ils voient des gens les regarder de hauts
Parfois avec un regard dégoûté
D'autre fois complètement ignoré
Ils voient des gens les regarder de hauts
Parfois avec un regard dégoûté
D'autre fois complètement ignoré
Ni un bonjour, pas même un arrêt
Les gens préfèrent ne pas voir ce que deviens l'humanité
Certains pourraient leur donner de quoi manger
Subvenir à un besoin
Pour qu'ils s'éloignent pendant quelque temps
De la puanteur des souterrains
Les gens préfèrent ne pas voir ce que deviens l'humanité
Certains pourraient leur donner de quoi manger
Subvenir à un besoin
Pour qu'ils s'éloignent pendant quelque temps
De la puanteur des souterrains
Mais comment savoir si ils mentent ?
Comment savoir qui se cache sous leurs vêtements ?
Tant de personne arrivent à nous berner
Avec leurs simples mines dépitées
Comment savoir qui se cache sous leurs vêtements ?
Tant de personne arrivent à nous berner
Avec leurs simples mines dépitées
Comment arrivé à n'avoir aucune méfiance ?
Et à leur faire simplement confiance
Impossible ! Seulement certains
Continuent leur chemin
Sans savoir qu'ils avaient en fasse d'eux quelqu'un
Qui était vraiment dans le besoin
Et à leur faire simplement confiance
Impossible ! Seulement certains
Continuent leur chemin
Sans savoir qu'ils avaient en fasse d'eux quelqu'un
Qui était vraiment dans le besoin
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